Tout apprendre de l’histoire du lada 4×4
Le lada niva propose un nouveau concept lui permettant de marquer à jamais l’histoire de l’automobile. La marque arrive sur le marché en proposant une véritable carrosserie et un bel habitacle caractéristique de la berline. Le modèle de voiture présenté semble ne faire marche-arrière devant aucun obstacle. Ce véhicule est tellement parfait que même 40 ans après sa sortie, il inspire les nouvelles générations de SUV.
Robustesse et confort au préalable
L’histoire du lada 4×4 commence avec la Fiat qui lance la Lada 2101 alors que la Russie commence à cerner les bases de la motorisation de masse. Les routes sont souvent impraticables et les axes de circulation consistaient surtout en des pistes de terre.
Les habitants des campagnes russes préféraient les véhicules capables d’arpenter toutes sortes de terrains. Aussi, le fabricant s’inspire des Jeep Willys pour construire ses premiers prototypes. Deux ingénieurs vont également proposer une idée plus novatrice. Lada place la barre haut, car le 4×4 lada niva est le premier véhicule que développe cette enseigne de renom.
Les deux ingénieurs ici évoqués pensent à un véhicule ayant :
- les capacités d’une automobile tout terrain
- le confort d’une berline
Bien qu’aujourd’hui, cette solution soit commune, elle fut considérée comme une véritable innovation à l’époque.
Le concepteur propose de poser l’habitacle de ladite berline qui vient donc trôner sur une caisse autoporteuse. Le projet profite aussi d’une transmission permanente intégrale en plus d’un différentiel central. La Niva est capable de gravir des pentes de 58 % et de traverser des rivières d’une profondeur de 60 cm. Ce modèle de lada niva est apte à rouler dans un mètre de neige. Avec sa carrosserie solide et son intérieur luxueux, ce véhicule est parfait. Il ajoute même des sièges confortables pour le plaisir des amateurs de longues routes.

La naissance d’un 4×4 moderne
Le fabricant lada niva sollicite Porsche pour assurer la perfection de sa boîte de vitesses à 4×2 rapports. L’allemand rentabilise alors un projet de transmission qu’il eut destiné à son 4×4 Porsche n’ayant jamais vu le jour. Les tests se multiplient alors dans tout l’URSS afin d’attester des capacités et de la résistance de l’automobile.
En 1980, l’usine de Togliatti accueille une délégation japonaise venant de Suzuki. En 1988, la japonaise met le Suzuki Vitara en ligne. Ce véhicule allie également les aptitudes de franchissement au confort subtil de la berline. Le Vitara devient ainsi le premier d’une série de voitures de loisirs connu sous le nom de « SUV ». Ce dernier s’inspire du succès de Niva.